L'Amiral en Chef Sengoku, stratège d'une guerre inévitable?

Demain, la guerre ?

/
426 vues
Lecture : 2 min

Le délai est arrivé à son terme et demain dans l’après-midi, alors que la vie de Portgas D. Ace s’éteindra, le Gouvernement sera probablement entré en guerre. Vivons-nous en ce moment les dernières heures du monde tel que nous le connaissons ?

Une semaine, tel fut le délai fixé par le tribunal de la Marine avant l’exécution de Portgas D. Ace. Or, ce délai prendra fin ce soir. Demain le pirate sera, selon un plan soigneusement établi, conduit en dehors du centre pénitencier d’Impel Down à 9h du matin précises. Il sera ensuite escorté par pas moins de cinq navires de guerre, chacun commandés par cinq vice-amiraux, jusqu’aux Quartiers Généraux de la Marine à Marine Ford, afin d’y recevoir la peine capitale.

Depuis l’annonce, démentie par les hautes autorités mais bel et bien confirmée par la suite, de la disparition de vingt-trois navires de la Marine à l’entrée du Nouveau Monde, l’on sait la lourde et effrayante flotte d’Edward Newgate déjà en mouvement. L’incroyable déploiement de force des autorités, ayant convoqués ses plus notables gradés ainsi que l’ensemble des Capitaines Corsaires, (l’impératrice Boa Hancock ayant finalement décidé, fait tristement unique, d’honorer la convocation de l’amiral en chef Sengoku), fait peser sur le monde une attente anxieuse qui prendra fin demain dans l’après-midi.

Demain, aux alentours de 15h, heure prévue de l’exécution, le Gouvernement Mondial et la Marine seront peut-être – l’adverbe est ici plus un souhait inespéré qu’une véritable incertitude – en guerre contre ‘l’homme le plus fort du monde‘. Et, de l’avis unanime des spécialistes, cette journée devrait tristement entrer dans l’Histoire.

Eibes Peter est journaliste spécialiste des questions de défense et de stratégie au sein du GrandLine Times depuis 1515.
Il a notamment servi comme correspondant militaire pendant les guerres du Royaume Shikkearu, de Centaurea et de Sarayev. Il a reçu plusieurs prix comme le prix Kalache-Nikov en 1517, le prix Zephyr (pour les articles militaires) ainsi que le prix Thompson-Colt (pour ses interviews). Il aura été le correspondant privilégié du GrandLine Times pendant la terrible Guerre du Sommet en 1522.