La rivalité des deux amiraux se décidera lors d'un duel

Kuzan-Sakazuki : le duel est annoncé !! BROUILLON

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La situation de rivalité actuelle entre les deux emblématiques amiraux se trouve dans une impasse telle que l’issue, malheureusement, laissait peu de chances aux négociations. De façon aussi surprenante que spectaculaire, la Marine a annoncé, par la voix de son amirale en chef par intérim Tsuru, qu’un duel décidera du prochain maître de Marine Ford. Une triste première dans l’histoire de cette institution.

Un communiqué du haut commandement des armées du Gouvernement Mondial a officiellement annoncé hier soir qu’à la suite de l’echec de la mediation Tsuru, un duel devra officiellement départager les deux amiraux. C’est la première fois dans l’histoire de la Marine qu’une telle décision est prise. Le communiqué indique que la date et le lieu du duel ont d’ores et déjà été décidé mais qu’ils resteront confidentiels, afin « de ne pas attirer davantage d’attention sur les belligérants ».

Il est désormais de notoriété publique que l’ancien amiral en chef Sengoku avait souhaité voir Kuzan lui succéder, et qu’il avait effectué cette demande auprès du commandant en chef des armées Kong. C’est pourtant très tôt le nom  de Sakazuki qui sera pressenti, son courage et son sens du sacrifice lors de la récente guerre ne souffrant objectivement d’aucun débat.

L’inimitié entre les deux amiraux date de plusieurs années maintenant, et était connu de tous . Certains la ferait même remonter à l’incident d’Ohara de 1502, lorsque les deux soldats étaient encore vice-amiraux .

L’amiral Kuzan ‘Aokiji’, 47 ans, étant en ce moment sur West Blue afin d’aider la 80ème branche de la Marine à contrer le flux important de pirates, l’affaire aura lieu lorsqu’il reviendra au Quartier Général, aux alentours du 5 décembre prochain.

L’amiral Sakazuki ‘Akainu’, 53 ans, s’est quand à lui réjouit de cette décision, qu’on savait être de sa préférence depuis plusieurs jours déjà. l’amirale en chef par interim Tsuru avait d’ailleurs publiquement regretté cette

 

Traditionnellement, une nomination est une chose for simple. Après la démission d’un amiral en chef, ce dernier recommande à ses officiers supérieurs le nom d’un successeur, et les choses se passent sans encombre. Il arrive toutefois de temps en temps que certains egos se froissent et, comme dans toute organisation, des discussions peuvent avoir lieu. Lorsque la diplomatie échoue, ce sont les armes qui parlent.

L’exemple que nous offre le haut commandement de la Marine depuis bientôt 2 semaines est donc consternant.

Puisque l’amirale en chef par intérim Tsuru n’a pas su résoudre la situation par le dialogue, il ne restait plus beaucoup de solutions pour mettre un terme à ce qui est dors et déjà l’un des épisodes les plus consternants de l’histoire de la Marine.

 

l’un des trois amiraux est recommandé, et prend ainsi la place convoitée par tant de soldats. Il aurait donc été parfaitement logique que l’Amiral Aokiji, recommandé par l’Amiral en chef Sengoku, prenne la tête du nouveau Quartier Général de la Marine et applique sa vision de la Justice au monde. Mais, après les exploits de l’Amiral Akainu lors de la Guerre au Sommet, de nombreux hauts gradés et membres influents de la Marine ont exprimé leur désir de voir ce dernier à la tête de Marineford. Une problématique nouvelle se pose donc au sein du Quartier Général : qui pour remplacer Sengoku? Selon la tradition, c’est l’Amiral Aokiji, apprécié par beaucoup et recommandé par « Le Bouddha », qui devrait devenir l’Amiral en chef. Mais beaucoup au sein de la Marine pensent que l’Amiral Akainu, en exécutant le criminel Portgas D. Ace, mérite lui aussi cette place.

Un situation aussi aberrante  inextricable?

En pleine crise, la Marine ne peut se permettre d’être divisée.

Eibes Peter est journaliste spécialiste des questions de défense et de stratégie au sein du GrandLine Times depuis 1515.
Il a notamment servi comme correspondant militaire pendant les guerres du Royaume Shikkearu, de Centaurea et de Sarayev. Il a reçu plusieurs prix comme le prix Kalache-Nikov en 1517, le prix Zephyr (pour les articles militaires) ainsi que le prix Thompson-Colt (pour ses interviews). Il aura été le correspondant privilégié du GrandLine Times pendant la terrible Guerre du Sommet en 1522.